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Initié dans le cadre de la préparation de l’anniversaire des 100 ans de la Haute École de Travail Social de Genève (HETS), Les Grandes Marches est un projet de plaidoyer en faveur de la promotion des droits humains en Suisse comme ailleurs dans le monde. Ce projet consiste à rassembler symboliquement sur le même espace public des acteurs et actrices de la société civile (militant-e-s des droits humains, leaders communautaires, professionnels-les du développement, travailleurs sociaux et travailleuses sociales, etc.) de différents pays défendant leurs droits.

Séquence du projet

Chaque acteur et actrice participant au projet choisi un slogan (cause à défendre qui lui est particulièrement chère ) avant d’être pris en photo, pancarte à la main, dans la position de son choix. Toutes les photos d’acteurs et actrices de changement collectées sont reproduites sous la forme de « silhouette » à l’échelle 1:1. De 2018 à 2020, les silhouettes sont mises en scène dans différents pays (installation dans des lieux symboliques) de sorte de symboliser des manifestation de défense et promotion des droits humains. Deux types de panneaux accompagnant les silhouettes sont produits (format F4). A) Le premier présente la démarche générale du projet et ses acteurs et partenaires. En bas du panneaux sont cités (avec leurs logos) les partenaires financiers. B) Le second présente chaque militant-e-s des droits humains, leaders communautaires, professionnels-les du développement, travailleurs sociaux et travailleuses sociales (20 silhouettes par page. À droite de la silhouette, les références de la personne, de son institution, de son pays et zone d’intervention et son slogan). Il y a un panneau A en ouverture d’un « lot » de 20 silhouettes et un panneaux B en fermeture du même lot.

Participer aux grandes marches ?

Vous êtes militant-e-s des droits humains, leaders communautaires, professionnel-le-s du développement, travailleurs sociaux et travailleuses sociales et vous seriez prêts à défendre le sens de votre engagement dans le cadre de la mise en scène de manifestations symboliques promotion des droits humains ? Rejoignez-nous ! Pour participer, rien de plus facile. Il vous suffit : 1) D’identifier une cause que vous défendez et de la traduire en un slogan représentatif du sens de votre action, comme par exemple : - « Je me bats pour que partout sur terre chacun dispose des mêmes droits que moi ! » ou « L’eau est un bien universel, la privatisation de sources est criminel ! » etc (attention à choisir un message univoque, c’est lui qui parlera pour vous !) 2) Demander à une ou un collègue de vous prendre en photo, « de la tête au pied », format « vertical », en tenant une pancarte, dans la position de votre choix. Concrètement, il s’agit de tenir, à une ou à deux mains, une feuille (ou carton) vierge, format A4 ou A3 si possible horizontalement (format « paysage »). Votre slogan sera incrusté sur cette pancarte ultérieurement par la graphiste du projet. Attention ! Pour la prise de photo, et sachant que les silhouettes finales ne pourront pas dépasser les 200 cm de haut pour 150 cm de largeur merci d’éviter de lever les bras en l’air ou de les ouvrir à l’horizontale, particulièrement si vous êtes grande ou grand. 3) Nous envoyer votre photo accompagnée de : - Le nom de l’association/institution qui vous emploie et descriptif de sa mission. (Attention, maximum 200 caractères, espaces compris), - Votre pays et zone d’intervention, - Vos noms et prénoms, votre fonction dans l’institution (ex. Responsable du programme d’éducation bilingue), - Votre taille (en cm), - Le slogan que vous souhaitez voir apparaître sur votre pancarte. (Attention, maximum 80 caractères, espaces compris).

Cela à l’adresse : info@compagniezappar.com avec en titre de mail « Les Grandes Marches ».

Une fois reçue, votre image sera projetée sur panneau en forex, peinte, détourée, et mise sur pied avant d’être installée sur le domaine public, dans différents pays, lors des manifestations symboliques prévues entre 2018 et 2020.

Agenda des prochaines « manifestation » des Grandes Marches

- Place des Nations, Genève, Suisse, 09 octobre 2018 - Rues Basses, Genève, Suisse, 10 octobre 2018 - Sites de la HETS (Prévost Martin) + salle communale de Plainpalais, Genève, Suisse, les 11, 12, 13 et 14 octobre 2018 (100ème anniversaire de l’école) - Place des Martyrs, Cotonou, Bénin, début février 2019 - Porte du Non Retour, Ouidah, Bénin, début février 2019 - Place de la Femme, Festival Rendez-Vous chez Nous, Ouagadougou, Burkina-Faso les 14, 15, 16 et 17 février 2019 - Centre Siraba, Festival Rendez-Vous chez Nous, Bobo Dioulasso, Burkina-Faso les 23, 24, et 25 février 2019


Depuis quelques années, le Collectif Arts, Clowns, Marionnettes et musiques dans nos Rues (ACMUR) organise des formations pour les acteurs artistiques et culturels, notamment sur le champ des techniques artistiques.

"En 2017, nous avons décidé de créer une structure interne à ACMUR entièrement dédiée à la formation mais avec, cette fois, une orientation sur les formations administratives et techniques dans le champ culturel et avec vocation d’intervenir à l’échelle nationale et sous régionale. Cette structure, le CRAEP (Centre Régional d’arts en espace public) a déjà organisé des formations sur l’écriture de spectacles, d’administrateur de structure culturelle, d’organisation d’évènement en espace public", explique d'emblée Philippe Chaudoir, coordinateur des ateliers du Collectif.

En effet, en 2017, ACMUR a installé les bases d’un centre d’incubation de compétences dans les domaines des arts dans l’espace public à travers un atelier sous régional tenu à Bobo-Dioulasso.

Cette année, deux nouvelles formations sont prévues, l’une sur le développement et la gestion de projet culturel, l’autre sur la régie de spectacles en espace public. Soutenue par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), la première session de formation se déroule du 30 juillet au 6 août 2018. Elle se tiendra, en partie, au Centre Napam Béogo à Ouagadougou et alternera des journées de formations délocalisées sur des sites culturels pertinents. Encore cette année, les ateliers du Collectif ACMUR rassembleront à chaque session, au moins, une douzaine de porteurs de projets culturels venus du Mali, de la Côte d’Ivoire, du Bénin, du Togo, du Tchad, du Niger et du Burkina Faso, a fait savoir le directeur artistique, Boniface Kagambega.

À noter que le présent atelier rassemble 18 participants, notamment 4 du Burkina et 14 autres venus du Bénin, du Togo, de la Côte d’Ivoire, du Mali, du Niger et du Tchad. Il verra également la participation de la Directrice adjointe du Centre National des arts de la rue et de l’espace public de Villeurbanne, en France. Elle s’appuiera sur des retours d’expériences d’acteurs burkinabè dont les projets sont reconnus, tel que le centre Boamani à Koubri, la Cour du Naaba à Paongo et Napam Béogo à Gounghin.

Le programme de la première session de formation porte sur cinq points centraux :

1- Comprendre le fonctionnement, l’administration et l’économie des Politiques Culturelles

2- Analyser l’économie et les financements d’un projet culturel en croisant des financements publics, privés et participatifs

3- Positionner son projet au regard des relations culturelles internationales

4- Développer une stratégie de communication et de marketing, autour de l’image du projet et de ses porteurs

5- Gérer son projet, en particulier du point de vue méthodologique.


Burkinabè artist, she have three musical albums to his credit. His career began by passion like many other artists but his story is very different.

His story with music

His first vocation was teaching: "I did the test of the teaching and I was admitted. Unfortunately we are in a country where there is still a lot of prejudice that disadvantages people living with a disability. After the test results, the government issued a statement saying that they dnot need anyone physically unfit. It was a shock but as I have a strong mind, I told myself that I will not be sorry about my fate and I will not give up. I had a bit of a pain when I thought it was because I was not fit on one foot that I was refused work. So I told myself that I was going to challenge the whole society to show that even if a person does not work in a public service, they can get by in life".

An example of fighting spirit

"Most people with disabilities think it's an end for them. And as if we are disabled we must expect everything from others. Whether it's the family doing everything, etc. Not for me. "

"We must not rely on prejudices or stereotypes but we must work, because it is through work that society recognizes a person and we can impose ourselves on society and be accepted."

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